Le Travail de la Mémoire :

un retour vers le passé lointain pour mieux plonger nos yeux dans le brillant futur du Monde à Venir!

 

Le dernier jour de fête de l’année du calendrier sacré, le huitième jour de la fête de Soukkoth ou des huttes mis en place par le Créateur pour l’homme est une dernière chance qui nous est offerte pour le travail de la mémoire souhaité par notre Père !

En de nombreux endroits de Sa Parole, Il nous demande avec insistance de garder précieusement ses fêtes et ses commandements  pour ne pas mettre en oubli le passé de nos cousins adoptifs, les Enfants d’Israël, la descendance prestigieuse d’Abraham. Yéhoah[1] demande aussi que ce soit l’occasion d’en expliquer les origines et le sens à nos enfants.

 

Ce devoir du souvenir nous est demandé par exemple à l’occasion de la Pâque et de la fête des sept jours des pains sans levain comme nous allons le lire en Exode, chapitre 12, versets 24 à 27 et aussi au chapitre 13 et au verset 8:

 

« Vous observerez cela comme une prescription pour vous et vos fils à perpétuité. Quand vous serez entrés dans le pays que Yéhoah vous donnera, selon sa parole, vous observerez ce rite.

Et lorsque vos fils vous diront : Que signifie pour vous ce rite ? Vous répondrez : C’est le sacrifice de la Pâque en l’honneur de Yéhoah qui a passé par-dessus les maisons des Israélites en Egypte, lorsqu’il frappa les Egyptiens et qu’il préserva nos maisons. »

 

Et ensuite au chapitre 13 :

 

« Tu feras en ce jour un récit à ton fils, en disant : C’est à cause de ce que Yéhoah a fait pour moi, lorsque je suis sorti d’Egypte. »

 

Le dernier jour des fêtes du septième mois !

 

Cette notion du souvenir doit également nous interpeler au moment du dernier jour de fête de l’année sacrée, au huitième jour qui succède aux sept jours de la fête de soukkoth (alias la fête des huttes qui commémore la vie des Israélites sous des huttes pendant leur séjour dans le désert après leur sortie d’Egypte). Cette dernière fête est mentionnée en Lévitique chapitre 23 et aux versets 33 à 36 :

 

« Yéhoah parla à Moïse et dit : Parle aux Israélites, dis-leur : Le quinzième jour de ce septième mois, ce sera la fête des huttes en l’honneur de Yéhoah, pendant sept jours…
Le huitième jour, vous aurez une sainte convocation et vous offrirez à Yéhoah des sacrifices consumés par le feu ; ce sera une cérémonie solennelle : vous ne ferez aucun ouvrage servile. »

 

Tout comme pour les fêtes précédentes, essayons de savoir à quoi peut bien correspondre dans le passé cette fête du huitième jour . Et avec ce point de départ solide, nous essayerons ensuite d’établir la jonction avec ce futur si prestigieux que nous réserve notre Père en nous rappelant toujours que ces fêtes sont l’ombre des choses à venir comme nous l’a écrit Paul en son épître aux Colossiens, chapitre 2 et verset 16.

 

 

 

L’entrée dans la Terre Promise, l’ombre du monde à venir.

 

Cette dernière fête est en effet tout à fait particulière puisqu’elle est avec certitude l’ombre que nous projette le nouveau monde éternel conçu par notre Créateur pour sa famille à naître. C’est au cours de l’événement symbolisé par cette fête qu’il nous sera offert de dédicacer ce Monde à Venir !

 

Nous savons sans l’ombre d’un doute que la fête des huttes est là pour que nous commémorions le séjour des enfants d’Israël dans le désert du Sinaï après leur sortie d’Egypte. Donc la logique veut que ce huitième jour, qui suit la fête des huttes soit là pour commémorer les événements qui ont succédé au séjour des enfants d’Israël dans le désert quand ils ont cessé progressivement d’être ces gens du voyage habitant sous des huttes pour devenir un peuple sédentaire.

La fête de ce Dernier Grand Jour est donc la commémoration de l’entrée des Enfants d’Israël dans la Terre Promise sous la conduite de leur Roi d’alors, Yéhoah, qui par la même occasion accepte de reprendre le pouvoir sur cette terre où l’iniquité des peuples qui l’habitaient avait atteint son comble. Lisons comment Moïse rappelle les propres paroles de Yéhoah en Deutéronome chapitre 31, versets 1 à 6 :

 

« Moïse alla dire ces paroles à tout Israël : Aujourd’hui, leur dit-il, je suis âgé de cent vingt ans, je ne pourrai plus aller et venir, et Yéhoah m’a dit : Tu ne passeras pas ce Jourdain. Yéhoah, ton Elohim[2], passera lui-même devant toi, il détruira ces nations devant toi et tu les déposséderas. Josué passera aussi devant toi, comme Yéhoah l’a dit. Yéhoah traitera ces nations comme il a traité Sihôn et Og, rois des Amoréens et leur pays, qu’il a détruits. Yéhoah vous les livrera, et vous agirez à leur égard selon tous les commandements que je vous ai donnés. Fortifiez-vous et prenez courage ! Soyez sans crainte et sans effroi devant eux ; car Yéhoah, ton Elohim, marche lui-même avec toi, il ne te délaissera pas, il ne t’abandonnera pas. »

Observons aussi ici qu’il a y encore une autre ressemblance frappante entre notre Sauveur et Moïse en ce que tous les deux n’ont pu entrer directement dans le Royaume de la Terre Promise : Tout comme Moïse est mort en son seuil, le Christ lui aussi est mort entre la fin de l’ancien monde et l’entrée dans le nouveau.

 

Yéhoah de l’Ancienne Alliance est-il si différent de celui que le christianisme prétend adorer dans le Nouveau Testament ?

 

Souvent le faux « christianisme » utilise ces passages de l’Ancienne Alliance pour crier au monde qu'Yéhoah, alias l'Eternel d’avant le christianisme, celui  qu’il appelle péjorativement "le Dieu des Juifs", comme si c’était un autre dieu que le leur, serait une divinité plus primitive, moins évoluée et cruelle! Ce faux « christianisme » utilise aussi cette argumentation pour faire croire qu’avec l’avènement du Sauveur, tout a changé et que la venue de leur christianisme fait enfin place au Dieu moderne « incapable de faire du mal à une mouche », sous-entendu un Dieu qui laisserait faire aux hommes tout ce qu’ils veulent et qui se plierait à toutes leurs visions de la société. Ce Dieu « Papa gâteau », pour leur simplifier la vie, aurait même fait « une croix » sur la loi et les commandements de l’Ancienne Alliance qui feraient en quelque sorte partie d’un autre monde qu’il faudrait enterrer. Il suffirait de proclamer haut et fort le mot Amour pour réussir ! Mais un bon observateur des hommes voit que ceux d’une part qui émettent de tels enseignements cherchent à endormir et à droguer ceux dont ils veulent faire une proie spirituelle pour les dominer et sucer leur énergie et leur bien, et ceux d’autre part qui adoptent et mettent en pratique ces slogans d’amour, ont vidé le mot amour de toute sa substance puisqu’ils s’en servent pour satisfaire leur égoïsme en s’aimant soi-même et uniquement soi-même. L’homme et la femme du monde occidental d’aujourd’hui se droguent, forniquent, sautent d’un partenaire à l’autre sans distinction de sexes, se détruisent et détruisent leur entourage et font mourir tout ce qui peut rester d’amour et qui aurait survécu à leurs actions égoïstes et destructrices. Comme nous allons le voir tout de suite, il faut comparer cette race à celle des peuples qui vivaient sur la Terre de Canaan avant l’entrée du peuple d’Israël. Et c’est aussi le moment de rappeler que contrairement aux songes mensongers des chefs religieux de ce siècle, le Créateur ne change pas, comme nous le dit Jacques dans son épître, au chapitre 1, verset 17 :

 

« Tout don excellent et tout cadeau parfait viennent d’en haut , du Père des lumières, chez lequel il n’ y a ni changement, ni ombre de variation. »

 

Des peuples de tueurs, de voleurs et d’égoïstes à détruire tout à fait pour sauver la race et la création.

 

En effet, imaginez des gens qui détruisent tout leur entourage ! Des peuples qui sacrifient à mort leurs enfants pour leur bon plaisir tout comme aujourd’hui tant de parents sacrifient leurs enfants au culte de l’argent ! Maris et femmes ont en général des enfants mais ils refusent les responsabilités d’amour et d’éducation qui découlent de cela. Dès que possible, au lieu de mettre tout en œuvre pour donner le meilleur de soi-même pour accompagner la croissance de son enfant, on s’en débarrasse au plus vite dans une crêche au bon gré de la qualité des personnes qui seront là pour s’occuper des nombreux bébés qui leurs sont confiés. Quand il devient plus grand, les parents irresponsables, s’ils n’ont pas déjà divorcé, se font des raisonnements en trompe-l’œil en considérant que leur progéniture est capable de se prendre en main. Au nom de la sacro-sainte liberté dont on le dote, le pauvre enfant se retrouve bien seul et souvent dans la jungle des villes et de leurs banlieues où la plupart des hommes occidentaux vivent après avoir déserté les campagnes qui sont leur milieu naturel. Ces enfants, qui n’ont même plus la nature à observer pour éventuellement tirer un peu d’espoir, ces enfants en recherche d’amour risquent de devenir la proie d’autres personnes elles-aussi à l’affût de l’argent, le dieu de ce monde, et ils vont sacrifier ces enfants tantôt à la drogue et peut-être pis, à la pédophilie. Tous ces enfants sacrifiés par notre « si belle société » qui se croit en devoir de donner des leçons aux autres nations vont se retrouver seuls comme sur une île déserte sans plus aucun repère pour se diriger et se sauver. Il en résulte une population de criminels violents et anarchistes qui vont pousser encore plus loin le travail de destruction que leur ont montré leurs parents et leur entourage.

Les hommes d’aujourd’hui ne se contentent pas de sacrifier leurs enfants à l’argent, le dieu de ce monde, ils vont encore beaucoup plus loin lorsqu’ils se mettent à détruire consciencieusement la nature pour satisfaire à leur égoïsme. Ils font ainsi en sorte que leur progéniture ne trouve plus rien de beau à quoi s’accrocher si par malheur ils parvenaient à survivre au traitement mauvais qu’on leur a imposé pendant leur jeune âge. De moins en moins d’oiseaux dans les villes et les campagnes, de moins en moins d’animaux dans la forêt traversée par de plus en plus d’autoroutes, de moins en moins de poissons dans les rivières polluées. Les animaux domestiques (veaux, volailles et poissons ) empoisonnés de manière forcée dans des camps d’élevage pour fournir aux hommes une nourriture souvent gaspillée. Hé bien ces hommes que nous sommes sont très ressemblants à ceux qui vivaient en Terre de Canaan avant l’entrée des Enfants d’Israël. A la limite, ils sont peut-être même pires qu’eux ! Vous pouvez maintenant comprendre pourquoi Yéhoah avait décidé alors de les rayer de la surface de la terre, tout comme il avait aussi décidé de le faire au moment du déluge. Il n’y avait plus rien de bon à tirer de cette race dont la seule vocation est de tout faire disparaître par la destruction.

 

Un Créateur rejeté hors de Sa création par ses propres enfants, les hommes !

 

On peut aussi comprendre pourquoi Yéhoah est loin d’être intéressé par la plupart des hommes sur cette terre, hommes qui dans leur grande majorité l’ont rejeté. Et qui plus est, les hommes avec cet esprit revendicatif et rebelle ont encore le culot de faire croire qu’ Elohim n’existe pas, tout cela parce qu' Yéhoah nous laisse tout simplement croupir dans le cloaque que nous nous sommes nous-mêmes fabriqué avec persistance. Combien de fois n’entend-on pas cette réflexion « Si Dieu existait, il ne laisserait pas se faire tous ces malheurs ! ».

 

Pour en revenir donc à notre propos, l’entrée en Terre Promise des enfants d’Israël devait se faire en parallèle et progressivement avec une mise à mort de tous les peuples qui y habitaient auparavant. Cette élimination définitive a été orchestrée par Yéhoah et il s’attendait à une assistance efficace de son peuple, une assistance aussi efficace que celle qu’il a eue des frelons par exemple comme on peut le lire en Josué, au chapitre 24 et aux versets 11 à 13 :

 

« Vous avez passé le Jourdain et vous êtes arrivés à Jéricho. Les maîtres  de Jéricho combattirent contre vous, les Amoréens, les Phéréziens, les Cananéens, les Hittites, les Guirgasiens, les Héviens et les Yebousiens. Je les ai livrés entre vos mains et j’ai envoyé devant vous les frelons, qui les chassèrent loin de votre face, ces deux rois des Amoréens : ce ne fut ni par ton épée, ni par ton arc. Je vous ai donné un pays où vous n’avez pas peiné, des villes que vous n’avez pas bâties et que vous habitez, des vignes et des oliviers que vous n’avez pas plantés et dont vous vous nourrissez. »

 

Donc Yéhoah non seulement ne fait pas de mal à une mouche mais au contraire il met à l’honneur les frelons pour faire éclater Sa gloire aux yeux de tous ces peuples qui le méprisent en détruisant son œuvre. Ceci prouve que la nature a foi en son Créateur et les frelons l’honorent.

Malheureusement, contrairement aux frelons soumis, les enfants d’Israël n’ont pas œuvré selon le souhait de Yéhoah et ils n’ont pas détruit complètement les nations de la Terre de Canaan. Lisons cela au psaume 106 et aux versets 34 à 39 :

 

« Ils ne détruisirent pas les peuples que Yéhoah leur avait indiqués. Ils se mêlèrent avec les nations et ils apprirent à imiter leurs œuvres. Ils rendirent un culte à leurs idoles, qui furent pour eux un piège ; ils sacrifièrent leurs fils et leurs filles aux démons, ils répandirent le sang innocent, le sang de leurs fils et de leurs filles, qu’ils sacrifièrent aux idoles de Canaan, et le pays fut profané par des meurtres. Ils se souillèrent par leurs œuvres, ils se prostituèrent par leurs agissements. »

 

Maintenant que nous avons plongé nos regards dans le passé pour nous rappeler ce que ce dernier jour de la fête du septième mois ou des huttes symbolise à savoir l’entrée du peuple de Yéhoah en Terre Promise, nous allons essayer de comprendre à quoi cette ombre correspond dans le monde à venir.

Tout comme la fête des huttes est un symbole pour le règne de mille ans de Yashuah (plus connu sous le nom de Jésus) et de ses Saints sur la terre entière où la mort aura encore toute sa puissance, de même, le Dernier Grand Jour des fêtes du septième mois symbolise l’entrée du peuple des Saints dans l’univers dont il prendra possession lorsque le séjour des morts et l’empire de la mort disparaîtront définitivement!

Lisons une brève description de ces événements en Apocalypse, au chapitre 20, versets 7 à 15 :

 

« Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison, et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre. Leur nombre est comme le sable de la mer.

Ils montèrent à la surface de la terre, et ils investirent le camp des saints (ndlr : un camp dans le même sens du campement des enfants d’Irsaël pendant leur séjour dans le désert du Sinaï, un camp de tentes sans demeures fixes, le contraire d’un pays avec ses villes et ses terres limitées par des frontières ou des bornes) et la ville bien-aimée. Mais un feu descendit du ciel et les dévora. Le diable qui les séduisait fut jeté dans l’étang de feu et de soufre où sont la bête et le faux prophète. Et ils seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles.

Puis je vis un grand trône blanc, et celui qui y était assis . Devant sa face s’enfuirent la terre et le ciel, et il ne fut plus trouvé de place pour eux. Et je vis les morts, les grands et les petits, debout devant le trône. Des livres furent ouverts et un autre livre fut ouvert, qui est le livre de vie. Les morts furent jugés d’après ce qui était écrit dans les livres, selon leurs œuvres. La mer donna les morts qui s’y trouvaient, la mort et le séjour des morts donnèrent les morts qui s’y trouvaient, et ils furent jugés chacun selon ses œuvres.

La mort et le séjour des morts furent jetés dans l’étang de feu. C’est la seconde mort, l’étang de feu. Quiconque ne fut pas trouvé inscrit dans le livre de vie fut jeté dans l’étang de feu. »

 

Nous assistons donc ici à la fin ultime de l’ancien monde dont Satan était le prince. Pendant les mille ans qui ont précédé cette fin, le peuple des Saints sous la conduite de son Berger, Yashuah, le Christ, a séjourné sur cette terre et s'est déplacé d’un endroit à l’autre tout comme les enfants d’Israël se sont déplacés dans le Sinaï. Ces mille ans seront  utilisés pour enseigner et pour apprendre l’obéissance. Pendant ce séjour sur la terre, l’Oint préfiguré par Moïse, dirigera le camp et nous verrons encore jaillir de l’eau dans le désert comme nous l’annonce Esaïe, au chapitre 35 et au verset 6 :

 

« Alors le boiteux sautera comme un cerf, et la langue du muet triomphera, car des eaux jailliront dans le désert et des torrents dans la Arava. »

 

Mais voici le franchissement et l’entrée dans le nouveau monde avec son nouveau ciel, sa nouvelle terre et sa nouvelle Jérusalem ! De ce nouveau monde seront dévoués par interdit Satan et ses démons. Ce sera l’œuvre du Créateur en collaboration avec toute sa création dont les Saints font partie. L’ombre que projette cet événement dans notre présent monde mauvais est représentée par cette dernère journée de fête de l’année sacrée, celle qui a lieu au huitième jour qui suit la fête de Soukkot décrite en Lévitique 23, au verset 36 :

 

« Pendant sept jours, vous offrirez à Yéhoah des sacrifices consumés par le feu. Le huitième jour, vous aurez une sainte convocation et vous offrirez à Yéhoah des sacrifices consumés par le feu ; ce sera une cérémonie solennelle : vous ne ferz aucun ouvrage servile. »

 

Avant cette entrée dans le nouveau monde promis (symbolisé par la Terre Promise), une cérémonie particulièrement émouvante va avoir lieu, celle de l’ abdication de Yashuah (plus connu dans le monde sous le nom de Jésus-Christ. Il va suivre l’exemple de son père qui avait abdiqué lorsque son peuple d’Israël l’avait rejeté au profit du roi Saül. Lisons comment cela s’était passé en I Samuel, au chapitre 8, les versets 6 à 8:

 

« Aux yeux de Samuel, c’était une mauvaise chose qu’ils aient dit : Donne-nous un roi pour nous juger ; et Samuel pria Yéhoah. Yéhoah dit à Samuel : Ecoute la voix du peuple dans tout ce qu’il te dira ; car ce n’est pas toi qu’ils rejettent, c’est moi qu’ils rejettent, pour que je ne règne plus sur eux. Ils agissent à ton égard comme ils ont toujours agi depuis que je les ai fait monter d’Egypte jusqu’à aujourd’hui ; ils m’ont abandonné pour rendre un culte à d’autres dieux. »

 

L’ abdication de notre Sauveur dans l’éclat de sa gloire et la Révélation  du Nouveau Monde.

 

Mais aujourd’hui, la raison de son abdication sera beaucoup plus réjouissante puisqu’il remet tout son pouvoir entre les mains de son Père, après avoir accompli parfaitement sa mission. En fait Yashuah, notre Prince et Sauveur aura agi en conformité avec l’exemple des bons serviteurs qui ont fait fructifier les mines qu’ils ont reçues de leur Seigneur pendant le temps de son absence. Yashuah (alias Jésus) va rendre à son Père un royaume purifié et enrichi d’une grande famille de filles et de fils. Paul décrit cela très bien en sa première épître aux Corinthiens, chapitre 15, versets 20 à 28 :

 

« Mais maintenant, Christ est ressuscité d’entre les morts, il est les prémices de ceux qui sont décédés. Car puisque la mort est venue par un homme, c’est aussi par un homme qu’est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ, mais chacun en son rang : Christ comme prémices, puis ceux qui appartiennent au Christ, lors de son avènement.

Ensuite viendra la fin, quand il remettra le royaume à celui qui est Elohim et Père, après avoir aboli toute principauté, tout pouvoir et toute puissance. Car il faut qu’il règne jusqu’à ce qu’il ait mis tous ses ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera détruit, c’est la mort. Elohim, en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais lorsqu’il dit que tout lui a été soumis, il est évident que celui qui lui a soumis toutes choses est excepté. Et lorsque toutes choses lui seront soumises , alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin qu’ Elohim soit tout en tous. »

 

 

Un Nouveau Monde dont la réalité dépasse la fiction  offert sur un « plateau d’argent ».

 

Nous devons aussi nous préparer mentalement à un autre aspect sensationnel de cette entrée dans le Nouveau Monde, un aspect que nous devons soupçonner d’après les ombres laissées lors de l’entrée des Enfants d’Israël en Terre Promise, ombres que nous allons lire au chapitre 6 du livre du Deutéronome, des versets 10 à 12 :

 

« Quand Yéhoah, ton Elohim, te fera entrer dans le pays qu’il a juré à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob, de te donner, avec de grandes et bonnes villes que tu n’as pas bâties, des maisons pleines de toutes sortes de biens et que tu n’as pas remplies, des citernes creusées que tu n’as pas creusées, des vignes et des oliviers que tu n’as pas plantés ; et lorsque tu mangeras et te rassasieras, garde-toi d’oublier Yéhoah, qui t’a fait sortir du pays d’Egypte, de la maison de servitude. »

 

bien! Il y a ici aussi un symbole grandiose pour l’avenir que nous réserve notre Père. Tout comme Yéhoah avait offert en son temps un  pays riche de cultures et de maisons à son peuple d’Israël, de même notre Père nous invitera à quitter cette terre symbolisée par la sortie du désert du Sinaï pour recevoir comme nouvelle demeure tout l’univers avec ses milliards d’étoiles et de planètes. Notre Père nous demandera de collaborer avec Lui pour nettoyer cet univers de tous les démons qui y seraient encore, tout comme Israël aurait dû dans le passé nettoyer la Terre Promise des peuples qui l’avaient souillée.

Lisons tout d’abord comment Pierre nous laisse entrevoir ces événements en sa deuxième épître, au chapitre 3 et aux versets 1 à 15 :

 

« Voici déjà, bien-aimés, la seconde lettre que je vous écris. En toutes deux, je fais appel à des souvenirs, pour éveiller en vous une claire intelligence, afin que vous vous souveniez des prédictions des saints prophètes et du commandement du Seigneur et Sauveur transmis par vos apôtres.

Sachez avant tout, que, dans les derniers jours, il viendra des moqueurs pleins de raillerie, qui marcheront selon leurs propres convoitises et diront : Où est la promesse de son avènement ? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme depuis le commencement de la création. En effet, ils oublient volontairement qu’il y eut autrefois, des cieux et une terre qui, du milieu de l’eau et formée par l’eau, surgit à la parole du Créateur, et que, par les mêmes causes, le monde d’alors périt submergé par l’eau ; mais, par la même parole, les cieux et la terre actuels sont gardés en réserve pour le feu, en vue du jour du jugement et de la perdition des impies.

Mais il est un point que vous ne devez pas oublier, bien-aimés : c’est que devant le Seigneur, un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour ; le Seigneur ne retarde pas l’accomplissement de sa promesse, comme quelques-uns le pensent. Il use de patience envers vous, il ne veut pas qu’aucun périsse, mais il veut que tous arrivent à la repentance. Le jour du Seigneur viendra comme un voleur. En ce jour-là, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre, avec les œuvres qu’elle renferme, sera consumée.

Puisque tout cela est en voie de disparition, combien votre conduite et votre piété doivent être saintes ! Attendez et hâtez l’avènement du jour de notre Créateur, où les cieux enflammés se dissoudront et où les éléments embrasés se fondront. Mais nous attendons, selon sa promesse, de nouveaux cieux et une nouvelle terre où la justice habitera.

C’est pourquoi, bien –aimés, dans cette attente, efforcez-vous d’être trouvés par lui sans tâche et sans défaut dans la paix. »

 

Pierre confirme ce que David avait déjà vu lorsqu’il écrit dans le

psaume 8 :

 

« Yéhoah, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! Toi qui établis ta Majesté au-dessus des cieux.

Par la bouche des enfants et des nourrissons tu as fondé ta force à cause de tes adversaires pour imposer silence à l’ennemi et au vindicatif.

Quand je regarde tes cieux, ouvrage de tes mains, la lune et les étoiles que tu as établies : qu’est-ce que l’homme pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ?

Tu l’as fait de peu inférieur au Créateur, et tu l’as couronné de gloire et de splendeur. Tu lui a donné la domination sur les œuvres de tes mains, tu as tout mis sous ses pieds, les brebis comme les bœufs tous ensemble, et même les bêtes des champs, les oiseaux des cieux et les poissons de la mer, tout ce qui parcourt les courants marins.

Yéhoah, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! »

 

Nous allons donc hériter de notre Père et Créateur Suprême tout l’univers, dont Satan et ses démons sont les propriétaires pour encore un peu de temps. Ce sont toutes des demeures construites qui sont prêtes à nous accueillir. Toute la création aspire à nous accueillir car cela mettra fin aux mauvais traitements qui lui sont imposés par le destructeur. Lisons cela dans l’épître de Paul aux Romains, chapitre 8, versets 19 à 21 :

 

« Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils d’Elohim. Car la création a été soumise à la vanité – non de son gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise -  avec une espérance : cette même création sera libérée de la servitude de la corruption pour avoir part à la liberté glorieuse des enfants d’ Elohim. »

 

La gratuité de ce don fait par notre Créateur est bien symbolisée par cette eau vive qui coulera hors de ceux qui franchiront la frontière de ce royaume, comme nous l’explique notre Sauveur précisément à l’occasion de cette dernière fête de l’année (Jean 7 : 37-39) :

 

« Le dernier jour, le grand jour de la fête, Yashuah debout s’écria : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Ecriture. Il dit cela de l’Esprit qu’allaient recevoir ceux qui croiraient en lui ; car l’Esprit n’était pas encore donné, parce que Yashuah n’avait pas encore été glorifié. »

 

Suivez votre Berger !

 

D’ici là, il nous suffit de nous laisser conduire par notre Berger qui nous aidera à traverser en toute sécurité ce royaume de l’ombre de la mort :

 

« Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal car tu es avec moi : ta houlette et ton bâton, voilà mon réconfort. Tu dresses devant moi une table, en face de mes adversaires ; Tu oins d’huile ma tête, et ma coupe déborde. » (Psaume 23 : 4-5)

 

La Nouvelle Jérusalem, où l’apothéose de notre Père !

 

Un dernier événement va venir couronner cette œuvre : la descente de la Nouvelle Jérusalem !

La venue de cette Nouvelle Jérusalem est préfigurée par la construction du Temple à Jérusalem pendant le règne Salomon . Tout comme le Temple ne fut construit qu’après la conquête de la Terre Promise, cette Nouvelle Jérusalem ne sera créée qu’après l’occupation complète de l’univers par les fils du Créateur et elle deviendra le centre de tous les événements importants et un espace de festivités pour toute la création. Lisons en Apocalypse, chapitre 21 et 22 comment nous sera révélée cette merveille unique dans toute l’histoire des hommes :

 

Chapitre 21.

 

 « Je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus. Et je vis descendre du ciel, d’auprès d’ Elohim, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, prête comme une épouse qui s’est parée pour son époux . J’entendis du trône une forte voix qui disait : Voici le Tabernacle d’ Elohim avec les hommes ! Il habitera avec eux, ils seront son peuple, et Elohim lui-même sera avec eux . Il essuiera toute larme de leur yeux, la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu .  Celui qui était assis sur le trône dit : Voici : je fais toutes choses nouvelles. Et il dit : Ecris, car ces paroles sont certaines et vraies. Il me dit : C’est fait ! Je suis l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif, je donnerai de la source de l’eau de la vie, gratuitement . Tel sera l’héritage du vainqueur ; je serai son Elohim, et il sera mon fils. Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les débauchés, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang brûlant de feu et de soufre : cela, c’est la seconde mort .

Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes remplies des sept dernières plaies vint et me parla, en disant : Viens, je te montrerai l’épouse, la femme de l’Agneau.

Il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne.

Et il me montra la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès d’Elohim. Elle avait la gloire d’Elohim ; son éclat était semblable à celui d’une pierre très précieuse, d’une pierre de jaspe transparente comme du cristal . Elle avait une grande et haute muraille. Elle avait douze portes, et sur les portes douze anges. Des noms y étaient inscrits, ceux des douze tribus des fils d’Israël : à l’orient trois portes, au nord trois portes, au midi trois portes et à l’occident trois portes. La muraille de la ville avait douze fondements, et sur eux les noms des douze apôtres de l’Agneau.

Celui qui me parlait avait pour mesure un roseau d’or, afin de mesurer la ville, ses portes et sa muraille. La ville avait la forme d’un carré, sa longueur était égale à sa largeur. Il mesura la ville avec le roseau : 12000 stades (ndlr : environ 2000 Km !) ; la longueur, la largeur et la hauteur en étaient égales. Il mesura la muraille : 144 coudées, mesure d’homme qui était celle de l’ange.

La muraille était construite en jaspe, et la ville était d’or pur, semblable à du verre pur. Les fondements de la muraille de la ville étaient ornés de pierres précieuses de toute espèce : le premier fondement était de jaspe, le deuxième de saphir, le troisième de chalcédoine, le quatrième d’émeraude, le cinquième de sardonyx, le sixième de sardoine, le septième de chrysolithe, le huitième de béryl, le neuvième de topaze, le dixième de chrysoprase, le onzième d’hyacinthe, le douzième d’améthyste. Les douze portes étaient douze perles ; chacune des portes était d’une seule perle . La place de la ville était d’or pur, comme du verre transparent.

Je n’y vis pas de temple, car le Seigneur Elohim Tout-Puissant est son temple, ainsi que l’Agneau . La ville n’a besoin ni du soleil ni de la lune pour y briller, car la gloire d’Elohim l’éclaire, et l’Agneau est son flambeau. Les nations marcheront à sa lumière, et les rois de la terre y apporteront leur gloire. Ses portes ne se fermeront point pendant le jour, car là il n’y aura pas de nuit. On y apportera la gloire et l’honneur des nations. Il n’y entrera rien de souillé, ni de personne qui se livre à l’abomination et au mensonge, mais ceux-là seuls qui sont inscrits dans le livre de vie de l’Agneau.

 

Chapitre 22.

 

Il me montra le fleuve d’eau de la vie, limpide comme du cristal, qui sortait du trône d’Elohim et de l’Agneau. Au milieu de la place de la ville et sur les deux bords du fleuve, se trouve l’arbre de vie, qui produit douze récoltes et donne son fruit chaque mois. Les feuilles de l’arbre servent  à la guérison des nations. Il n’y aura plus d’anathème. Le trône d’Elohim et de l’Agneau sera dans la ville. Ses serviteurs le serviront et verront sa face, et son nom sera sur leurs fronts. La nuit ne sera plus, et il n’auront plus besoin ni de la lumière d’une lampe, ni de la lumière du soleil, parce que le Seigneur Elohim les éclairera. Et ils régneront aux siècles des siècles.

Il me dit : Ces paroles sont certaines et vraies ; le Seigneur, l’Elohim des esprits des prophètes, a envoyé son ange pour montrer à ses serviteurs ce qui doit arriver bientôt. Voici. Je viens bientôt. Heureux celui qui garde les paroles de la prophétie de ce livre !

C’est moi, Jean, qui ai entendu et vu ces choses. Et quand j’eus entendu et vu, je tombai aux pieds de l’ange qui me les montrait, pour l’adorer. Mais il me dit :  Garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères les prophètes, et de ceux qui gardent les paroles de ce livre. Adore Elohim !

Puis, il me dit : Ne ferme pas d’un sceau les paroles de la prophétie de ce livre ! Car le temps est proche. Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore, que le juste pratique encore la justice, et celui qui est saint soit encore sanctifié !

Voici : je viens bientôt, et j’apporte avec moi ma rétribution pour rendre à chacun selon son œuvre. Je suis l’Alpha et l’Omega, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de vie, et d’entrer par les portes dans la ville !     Dehors les chiens, les magiciens, les débauchés, les meurtriers, les idolâtres et quiconque aime et pratique le mensonge !- Moi, Jésus, j’ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Eglises . Je suis le rejeton et la postérité de David, l’étoile brillante du matin.

L’Esprit et l’épouse disent : Viens ! Que celui qui entend dise : Viens ! Que celui qui a soif, vienne ; que celui qui veut, prenne de l’eau de la vie gratuitement !

Je l’atteste à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre :  Si quelqu’un y ajoute, Elohim ajoutera à son sort les plaies décrites dans ce livre. Et si quelqu’un retranche des paroles du livre de cette prophétie, Elohim retranchera sa part de l’arbre de vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre.

Celui qui atteste ces choses dit: Oui, je viens bientôt.

Amen ! Viens, Seigneur Jésus !

Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec tous ! »

 

Toutes ces choses dépasseront en beauté tout ce que notre imagination pourrait un jour concevoir et pourtant ce sera vrai bientôt !

 

Nous pourrons alors nous joindre à David et adresser à notre Créateur les paroles du psaumes 145 :

« Je t’exalterai, Elohim, mon roi !

Et je bénirai ton nom à toujours et à perpétuité.

Chaque jour je te bénirai et je louerai ton nom à toujours et à perpétuité.

Yéhoah est grand et très digne de louange, sa grandeur est insondable.

Que chaque génération glorifie tes œuvres, qu’elle raconte tes exploits, la magnificence éclatante de ta gloire ; Je méditerai le récit de tes merveilles.

On parlera de ta force redoutable, et je redirai ta grandeur.

On évoquera le souvenir de ton immense bonté et l’on acclamera ta justice.

Yéhoah fait grâce, il est compatissant, lent à la colère et rempli de bienveillance.

Yéhoah est bon envers tous, et ses compassions s’étendent sur toutes ses œuvres. Toutes tes œuvres te célébreront, Yéhoah !

Et tes fidèles te béniront. Ils diront la gloire de ton règne, et parleront de ta puissance, pour faire connaître aux hommes tes exploits et la gloire magnifique de ton règne.

Ton règne est un règne de tous les siècles, et ta domination subsiste dans toutes les générations.

Yéhoah soutient tous ceux qui tombent et redresse tous ceux qui sont courbés.

Tous, avec espoir tournent les yeux vers toi, c’est toi qui leur donnes leur nourriture en son temps. Tu ouvres ta main et tu rassasies à souhait tout ce qui a vie.

Yéhoah est juste dans toutes ses voies et bienveillant dans toutes ses œuvres.

Yéhoah est près de tous ceux qui l’invoquent, de tous ceux qui l’invoquent avec vérité ; il réalise les souhaits de ceux qui le craignent, il entend leur cri et les sauve.

Yéhoah garde tous ceux qui l’aiment et détruit tous les méchants .

Que ma bouche dise la louange de Yéhoah, et que toute chair bénisse son saint nom, à toujours et  à perpétuité ! »




[1]Yéohah aussi nommé l’Eternel ou Yahvéh ou encore Yéhovah.

[2]  Elohim, le titre que porte Yéhoah et souvent traduit par Dieu dans la plupart des bibles.

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